1942
LIMOGES
Cette année est méconnue de la seconde guerre mondiale.
Les Allemands vont répertorier les statues afin de les fondre pour augmenter leur armement .
Limoges n'échappera pas à cette réquisition.
La statue du Maréchal Jourdan , a échappée à cette rafle.
Dès 1941 , cette décision fut prise, les statues d'origine on ferreux , fondront.
Gay-Lussac 
,
Denis Dussoubs
, disparaîtront sous le régime de Vichy (extrait d' e-monumen: 1882 : inauguration le 14 juillet d’un buste à Dussoubs place d’Orsay. 1887 : le 5 octobre le sculpteur informe le conseil municipal de l’achèvement de sa maquette pour un monument à Dussoubs. 1889 : le 22 février, le conseil municipal vote la somme de 5 000 francs pour réaliser la statue en plâtre. 1890 : au mois de mars, Rousselle-Bardelle termine une seconde maquette. Le 25 août, le ministère des Beaux-Arts alloue une subvention de 1 500 francs. 1892 : le 12 avril l’érection du monument est autorisée par décret du ministère de l’Intérieur. Il est inauguré le 24 avril. 1942 : fondu sous le régime de Vichy.).
Le buste du Docteur Chénieux.

1897 : inauguré le 26 juillet. Initialement prévu place Tourny, il est finalement installé rond-point Garibaldi après de nombreux débats au sein du conseil municipal. 1942 : fondu sous le régime de Vichy).
L'enfant au cygne de la place Fournier , le médaillon de Victor Thuillat , la fontaine du Jardin d' Orsay , partiront aussi.
Ils prendront aussi des statues à Saint-Léonard de Noblat , Pierre-Buffière : le buste du Docteur Lagrange , ou Laurière : le buste du Général Thoumas.
Saint léonard de Noblat verra disparaître le Docteur Pressemane et Denis Dussoubs.
La nymphe de Bellac et la statue d' Adrien Tarrade à Châteauneuf-la-Forêt.
Deux mois après la libération , l' Etat octroya 126.405 frs en dédommagement .
A partir du 11 Novembre 1942 , l'armée allemande envahie la zone libre.
Elle passe alors par Limoges.
Le 11 Novembre , 4 jours après le débarquement , la Wehrmacht , envahit la zone libre.
Les Allemands entrent dans Limoges.
Le siège de la Kommandantur est établit à l'hôtel de la Paix , place Jourdan. 
Les troupes , en vue de l'occupation établissent les bases , dans les casernes de Limoges.
La Gestapo , quand à elle , s'établit à l'hôtel particulier , impasse Tivoli.
La répression est alors terrible contre les hommes du maquis et les patriotes.
Jean Moulin est à l'origine de l'unification de la résistance.
MUR ( mouvements unis de résistance). La résistance est alors dans les entreprises : SNCF , PTT et le NAP.
le journal Valmy , édité par l'imprimeur Etienne Rivet apparaît.
Le journal clandestin est fondé par Alphonse Denis.
Les résistants de la ville , sont en apparence "normaux".
Ils pratiquent sur leur lieu de travail : tracts , faux papiers , sabotages, liaisons, ….
en 1943 les résistants sont renforcés par les jeunes du STO (service travail obligatoire) en Allemagne.